La Mouche, #Manche novela de Margarita García Alonso



 La Mouche, Manche, les dice algo? pues...

La Mouche, #Manche, les dice algo? pues... Mouche, novela de Margarita García Alonso 



Dada la posición del pueblo, en las laderas de una colina, y asumiendo una etimología diferente, quizás La Mouche podría vincularse al radical galo-romano °MONT- del latín mons “monte, altura”, que aparece por ejemplo en la forma dialectal normanda mouché "montón, monceau" (del antiguo normando mouchel = francés antiguo moncel > monceau), frecuente en la toponimia en el sentido de "altura". En este caso, parecería posible postular un nombre topográfico del galo-romano °MONTIA, representando el uso sustantivo del latín montia (que implica terra), forma femenina del adjetivo montius "de montaña", en el sentido de " (terreno) irregular, montañoso”. Esta dirección se adaptaría perfectamente a la topografía del lugar.

de ahî ligar la ruta hasta la colina del KM101, en Matanzas, ruta de naves astrales.




Toponymie

Attestations anciennes

Étymologie

Ce nom est systématiquement laissé à l'écart par les Grands Anciens (Longnon, Vincent, Dauzat, Rostaing)[49], et Marie-Thérèse Morlet n'en fait pas mention dans son ouvrage sur les noms de personnes contenus dans les noms de lieux[50].

François de Beaurepaire fut le premier à proposer une explication de ce toponyme, en l'assimilant à une variante de l'ancien normand muschemuche « cachette », d'où « lieu caché, retiré », équivalent dialectal de l'ancien français mucemusse « cachette »[1][51], due à l'attraction du mot français mouche. Cette explication fut reprise, quoique dubitativement, par Ernest Nègre[52], puis sans hésitation par René Lepelley[53].

Si l'on accepte cette étymologie, elle pourrait être justifiée par la position du village de La Mouche, situé entre deux buttes d'égale hauteur. Ceci dit, on trouve dans la Manche plusieurs autres attestations issues ou dérivées de l'appellatif muche / musse, sur lesquelles l'attraction n'a pas joué : ainsi, la Muche à Gouville-sur-Merla Muchette à Cerisy-la-Forêt; ou encore le Mussoir, ancien hameau à Bion. Mais il semble par ailleurs exister d'autres variantes en mouche dans le Calvados (s'il s'agit bien du même terme).

 Remarque : on pourra néanmoins s'étonner que les attestations anciennes de La Mouche ne comportent strictement aucune trace de ce qui devrait être l'appellation primitive, à savoir °la Musche ou °la Muche. Les formes latinisées de type Musca « mouche », utilisées dès le début du 12e siècle, postulent déjà une forme romane en Mosche, puis MouscheMouche. Le dictionnaire de Godefroy signale bien un variante mouce du mot muce, attestée à Rouen, mais elle ne date que du début du 15e siècle[54].
Étant donné la position du village, sur les pentes d'une butte, et dans l'hypothèse d'une étymologie différente, peut-être pourrait-on rattacher La Mouche au radical gallo-roman °MONT- issu du latin mons « mont, hauteur », qui apparaît par exemple dans la forme dialectale normande mouché « tas, monceau » (de l'ancien normand mouchel = ancien français moncel > monceau), fréquent en toponymie au sens de « hauteur ». Dans ce cas, il semblerait possible de postuler un appellatif topographique issu du gallo-roman °MONTIA, représentant l'emploi substantivé du latin montia (sous entendu terra), forme féminine de l'adjectif montius « de montagne », au sens de « (terre) accidentée, montueuse ». Ce sens conviendrait parfaitement à la topographie du lieu.
À l'appui de cette hypothèse, on notera par exemple qu'à Anctoville dans le Calvados, les Mouches désignait en 1831 un ensemble de parcelles sur les pentes d'une hauteur, et contigu à divers autres microtoponymes évoquant également ce type de relief (les Écaliersles Hauts Ventsles Écrettesla Basse Crette…), ainsi qu'une pièce de labour dénommée le Bas des Mouches en 1834 [55]. On retrouve une configuration semblable au Tourneur, également dans le Calvados, où coexistent la Mouche et la Basse Mouche.


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