Au fait Barack que tu le veuilles ou non les gaulois sont chez eux en France !

Au fait Barack que tu le veuilles ou non les gaulois sont chez eux en France !


"Tous ces mecs ne ressemblent pas, selon moi, à des Gaulois", a-t-il ajouté en souriant, sous les applaudissements du stade Wanderers de Johannesburg où étaient massées quelque 15 000 personnes. 

"En mi opinión, todos estos tipos no se parecen a los galos", agregó con una sonrisa, ante el aplauso del Wanderers Stadium de Johannesburgo, que albergaba a unas 15,000 personas.B. OBAMA

"pas tous des Gaulois"

?????????????????
mais

Ils sont Français !

NO, sr. OBAMA, NO sr. MADURO, VUESTRO RACISMO Y ODIO se lo guardan en el C..o. 
y después estos dos "énergumènes" dividen a la poblaciOn para mejor reinar y se llenan la boca diciendo que el racista es TRUMP.
Au fait Barack que tu le veuilles ou non les gaulois sont chez eux en France ! NINGUNO de los jugadores se pregunta si "realmente" es francés", simplemente.


Assez amusant d'entendre Obama qui accrédite la thèse du « Français de souche » en direct-live d'Afrique du Sud lors d'un hommage à Nelson Mandela...Encore plus amusant de voir les reprises mondiales (réseaux sociaux et autres) des paroles de l'ex-président par ceux-là mêmes qui réfutaient encore l'existence du bon gros Gaulois... Ces socialistes mondialistes perdent vraiment la tête... La question que l'on doit se poser est celle-ci : est-ce antiraciste quand l'antiracisme met en avant ou utilise la race pour combattre le racisme en encensant la diversité identitaire ?
C'est bien beau de dire cela aux Français mais lui était président quand sa police tuais des afro américains. Qu'à t'il changer pour les Black au Etats Unis sous sa présidence. Les beaux discours les belles rhétorique , le monde retiendra de lui un symbole. Juste un symbole de ce que devrait être la nation américaine.

Remplacez gaulois par français de souche... Oulala... Bon en même temps on parle d'un pays où faut déclarer de quelle ethnie on se sent

Coupe du monde : «Aucun des Bleus ne se demande s’il est bien Français»

En 1998, les débats sur les champions du monde « black-blanc-beur » avaient pullulé après le premier sacre des Bleus. Vingt ans plus tard, rares sont ceux en France à pointer du doigt l’origine des 23 tricolores sacrés dimanche en Russie.
Mais à l’étranger, la donne est différente. D’un côté, des discours ouvertement racistes d’observateurs ou d’internautes qui s’en prennent aux « Africains », comprendre les Bleus, vainqueurs du Mondial. De l’autre, des propos saluant le rôle de l’immigration, comme ceux de Barack Obama - « Ils ne ressemblent pas à des Gaulois, mais ils sont Français » - ou du président vénézuélien Nicolas Maduro. Un décalage expliqué par l’historien spécialiste de l’immigration Yvan Gastaut, enseignant à l’université de Nice.

Pourquoi le débat sur l’origine des Bleus se fait peu entendre en France et bien plus à l’étranger ?

Cela correspond à un écart entre deux visions de la France : une vue de l’intérieur et une vue de l’extérieur. Dans le pays, le discours actuel est très rassembleur, avec la « fraternité » qui revient comme mot d’ordre. A l’étranger, on a des points de vue opposés idéologiquement mais qui se retrouvent sur l’idée que la France n’est plus la France qu’ils connaissaient.

Pourquoi le débat sur la France « black-blanc-beur » ne revient pas cette fois ?

Parce qu’on l’a dépassé en 1998. Quand les Bleus gagnent la Coupe du monde à domicile, ils permettent à la France de prendre conscience de son rapport à l’immigration, à l’intégration et au racisme. Aujourd’hui, on sent davantage que l’on est dans la recherche de ce qui peut unir la société française. Et là en l’occurrence, c’est l’équipe de football qui permet le rassemblement et la fête.

La classe politique a très peu développé ce thème également…

Il y a un risque politique évident de surfer sur ce thème. C’est pour cela qu’Emmanuel Macron a lui aussi insisté sur les notions de collectif et de mise en avant de l’unité de ce groupe.

Paul Pogba a parlé d’une « France qui n’a pas qu’une couleur ». En quoi est-ce différent de 1998 ?

Avant tout, n’oublions pas que les joueurs n’ont pas la volonté première de revendiquer quelque chose. Ensuite, les mentalités sont différentes d’il y a 20 ans. A l’époque, certains éléments de l’équipe voyaient dans la notion de France « black-blanc-beur » une manière de montrer leur intégration. Aujourd’hui, aucun des Bleus ne se demande s’il est bien Français. C’est quelque chose d’acquis et de naturel.

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MADURO

los niños de LE HAVRE que han llegado a campiones del mundo

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