The eyes of Matan Angres. Mr. President @netanyahu and @POTUS
The eyes of Matan Angres. Mr. President
and
it is urgent that many kidnapped and war-traumatized soldiers receive psychological care, humane support, accompaniment, whatever you want to call it. There are already 68 suicides...
Los ojos de Matan Angres.
Sr Presidente, es urgente que muchos secuestrados y soldados traumatizados en la guerra reciban atención psicológica, seguimiento humano, acompañamiento, como deseen llamarlo, ya son 68 los suicidados...
Cuando se escuchan los testimonios del cautiverio de Rom Breslavski, el corazón se niega a creerlo.
Dos años solo. Dos años enteros —no en un túnel, sino completamente solo—, mientras en parte de ese tiempo fue mantenido junto a los cuerpos de rehenes asesinados.
Imaginen el horror, el olor, la soledad infinita en una habitación de un metro por un metro.
Intentaron quebrarlo de todas las formas posibles:
le ofrecían comida y jabón a cambio de convertirse al islam,
le exigían ayunar en Ramadán y leer el Corán.
Le mintieron diciéndole que Irán había bombardeado Israel,
que sus padres se habían olvidado de él y que nadie salía a protestar por su liberación.
Pero Rom no se quebró.
Frente a todo el terror psicológico, frente a las palizas que recibía varias veces al día,
frente al miedo a ser linchado cuando intentó escapar —Rom se aferró a su identidad.
Rezaba.
Y cuando finalmente regresó a casa, repetía una y otra vez:
“¡Soy judío! ¡Soy un judío fuerte!”
Pasó por un infierno solo para mantenerse fiel a su verdad.
Y ahora que está de regreso, y lo único que desea es poder pararse junto a la ventana “porque el aire le hace bien”,
tenemos que recordar esa valentía.
Recordar el camino atroz que atravesó.
Porque el pueblo de Israel es más fuerte que cualquier mal.
Yossef Ganon
Yossef Ganon"Il est vivant, mais il meurt à l'intérieur"
Les citations qui nous brisent tous le cœur 
Voici les paroles de Rom Braselowski, le héros pur qui a choisi de sauver des vies à Nova, et est revenu de l'enfer du prisonnier quand il a cassé un outil. Son histoire n'est pas une histoire de victoire, c'est une histoire d'âme déchirée.
Depuis deux ans, Rome subit des abus indescriptibles. Isolement. L'humiliation. Terreur psychologique. Ce n'est pas seulement son corps qui a été blessé, c'est son âme qui a pris la raclée la plus dure.
« Au début, il a dit qu'il avait été dans un certain endroit pendant quatre semaines, c'était un mauvais mauvais endroit. Ils lui ont menotté les mains et les pieds, et lui ont donné la moitié d'une pita sec le soir.
Aujourd'hui, quand il est enfin libre, le prix mental qu'il paie est inconcevable. Il a perdu la foi dans le monde, la capacité d'en faire partie :
« Il n'est pas prêt à rencontrer des gens. Réapprendre à vivre. "
Réfléchissez-y : un jeune qui a besoin de réapprendre à faire confiance tranquillement, à contenir une rencontre humaine, à respirer de l'air sans crainte que quelqu'un le fasse taire. Il voit le ciel pour la première fois depuis des années, et c'est la seule chose qu'il demande. Le téléphone, l'écran, le bruit - tout ce qui faisait autrefois partie de la vie, est maintenant devenu une menace.
Rome n'est pas un "survivant" - c'est un soldat qui est tombé au combat pour son âme. La bataille pour sa restauration est la vraie, profonde et invisible bataille. Il faut comprendre : le silence après la libération est le cri le plus fort.
S'il vous plaît, ne laissez pas Rom se battre seul. Son Esprit a besoin de nous maintenant, plus que jamais !
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