Di Marga Code: Yo vine a Le Havre como si hubiese partido a Groenlandia, hastiada de lo conocido: Hombres, poetas, intelectuales, críticos... desesperada ante mis semejantes, extenuada del infierno en mi isla. Solo el frío me consuela en este exilio, pues quema y no apaga el fuego interior.
Les Rita Mitsouko - Marcia Baïla (Clip Officiel) dos claves
Je me rends compte à quel point cette chanson est incroyablement touchante, aborder la mort avec autant de poésie c'est rare les morceaux comme ça.
Il y a pile quarante ans, les Rita Mitsouko enregistrent Marcia Baïla.
C’est ce jour là que la legende commence. Tous les instruments sont joués par Catherine Ringer et Fred Chichin.
Marcia Baïla - Les Rita Mitsouko.
Marcia elle danseSur du satin, de la rayonneDu polystyrène expanséÀ ses piedsMarcia danse avec des jambesAiguisées comme des couperetsDeux flèches qui donnent des idéesDes sensationsMarcia elle est maigreBelle en scène, belle comme a la villeLa voir danser me transformeEn excitéeMoretto, comme ta boucheEst immense quand tu sourisEt quand tu ris, je ris aussiTu aimes tellement la vieQuel est donc ce froidQue l'on sent en toi?Mais c'est la mortQui t'a assassinée MarciaC'est la mortTu t'es consumée MarciaC'est le cancerQue tu as pris sous ton brasMaintenant tu es en cendres, en cendresLa mort c'est comme une chose impossibleEt même à toi qui est forte comme une fuséeEt même à toi qui est la vie même MarciaC'est la mort qui t'a emmenéeMarcia danse un peu chinoisLa chaleur dans les mouvements d'épaulesÀ plat comme un hiéroglyphe incaDe l'opéraAvec la têteElle danse aussi très bienEt son visageDanse avec tout le resteElle a cherché une nouvelle façonEt l'a inventéeC'est elle la sauterelleLa sirène en mal d'amourLe danseur dans la flanelleOu le cartonMoretto, comme ta boucheEst immense quand tu sourisEt quand tu ris, je ris aussiTu aimes tellement la vieQuel est donc ce froidQue l'on sent en toi?Mais c'est la mortQui t'a assassinée MarciaC'est la mortTu t'es consumée MarciaC'est le cancerQue tu as pris sous ton brasMaintenant tu es en cendres, en cendresLa mort c'est comme une chose impossibleMême pour toi qui est la vie même MarciaEt même à toi qui est forte comme une fuséeC'est la mort qui t'a emmenéeMarcia, Marcia, Marcia, Marcia, Marcia
Hoy quiero compartir dos 'Ellas' que me enseñaron 'claves' al llegar al exilio.
Mi homenaje a María Moliner, sin proyectores, cuentan que «solita en casa», con «un lápiz y una cuartilla», empezó a escribir una palabra tras otra hasta conformar el «Diccionario del uso del español»
#TalDíaComoHoy de 1981 fallecía #MariaMoliner
En otro registro, un clip de Rita Mitsouko. En ese momento caí en la imprescindible reafirmación de libertad de una artista. Fascinada, tardé en comprender, lo increíblemente conmovedora que es esta canción, que habla de la la muerte con tanta poesía.
Hace exactamente #cuarenta años, #RitaMitsouko grabó Marcia Baïla. Ese día comienza la leyenda... y la revoltura en mi vientre de soltar lo que me lleva a la creación, tanto tiempo encerrado en lo políticamente correcto y el tralalalallala generacional de 'lo bueno', estricto y semejante al montón.
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