EXPOSICION de obras de Margarita García Alonso


 photo de Juan Carlos Cuba Marchàn



La poétique de l’Imaginaire de Margarita García Alonso s’inscrit totalement dans la dynamique et la luminosité. Tout appartient à l’ordre quantique d’un épanouissement  lyrique.


L’artiste peint des pulsions profondes et essentielles capables de produire un réel potentiel: Face aux ténèbres surgit cette clarté primordiale qui fascine et émerveille par sa fraîcheur émotive.


De la multiplicité des traits et des couleurs émerge un sens profond, intrinsèque à sa création: celui de l’élévation dirigée vers la  vitalité.


Celle-ci reste le noyau dur qui justifie la raison même de sa œuvre. Son langage reste éminemment reconnaissable et révèle la face la plus secrète de l’artiste peintre. Sa création est donc cosmique.


D’une part elle est symbolique puisqu’elle offre toujours le passage d’une réalité présente à une réalité autre qui dépasse la première. D’autre part elle est épiphanique puisqu’elle laisse apparaître l’expansion.


Ce dynamique plastique devient la réponse apportée par l’artiste peintre aux angoisses de l’être devant la temporalité. Celui-ci reste ici dans un temps de renaissance puisque couleurs et formes s’inscrivent contre toute forme de dégradation. On peut parler alors de peinture dans l’espace quantum, en conséquence, des schémas d’ascension qui réinventent des ouvertures plus que des refuges. Et lorsque dans certaines toiles tout semble vouloir "tourner", soudain éclate, de manière instinctive, un innocent style qui désarme.


En effet, l’imaginaire pictural suit des lois que la rationalité ignore. D’où ce passage du réel au virtuel, de l’actuel au possible. La cohérence de la peinture de Margarita García Alonso jaillit de la convergence intérieur, d’un indicible frémissement.

 

                                                                                                                                      

Jean-Paul Gavard-Perret,  maître de conférence en communication à l´Université de Savoie.  


La poética de La Imaginación de Margarita García Alonso está totalmente en consonancia con el dinamismo y la luminosidad. Todo pertenece al orden cuántico del desarrollo lírico.


El artista pinta impulsos profundos y esenciales capaces de producir un potencial real: frente a la oscuridad emerge esta claridad primordial que fascina y sorprende con su frescura emocional.


De la multiplicidad de líneas y colores emerge un significado profundo, intrínseco a su creación: el de elevación dirigida hacia la vitalidad.


Este sigue siendo el núcleo duro que justifica la razón misma de su trabajo. Su lenguaje sigue siendo eminentemente reconocible y revela el lado más secreto del pintor. Por tanto, su creación es cósmica.


Por un lado es simbólico ya que siempre ofrece el paso de una realidad presente a otra realidad que va más allá de la primera. Por otro lado es epifánico ya que permite que aparezca la expansión.


Esta dinámica plástica se convierte en la respuesta que brinda el pintor a las ansiedades de enfrentarse a la temporalidad. Permanece aquí en una época de renacimiento, ya que los colores y las formas resisten cualquier forma de degradación. Podemos entonces hablar de pintura en el espacio cuántico y, en consecuencia, de esquemas de ascensión que reinventan aperturas en lugar de refugios. Y cuando en ciertos cuadros todo parece querer "girar", de repente, instintivamente, estalla un estilo inocente que desarma.


De hecho, la imaginación pictórica sigue leyes que la racionalidad ignora. De ahí este paso de lo real a lo virtual, de lo actual a lo posible. La coherencia de la pintura de Margarita García Alonso brota de la convergencia interior, de un estremecimiento indescriptible.

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