Muy pronto, dos epidemias y confinamiento

 


van a soltar dos epidemias a la vez, en esas andan..., el ERIS, que es una variante del coronavirus y el Nipah

es un parche, para justificar la cantidad de muertos que trajo la vacuna, sobre todo en deportistas muy jovenes, pues sueltan la excusa antes del escàndalo. Te mueres no porque te pusieron el veneno con la vacuna, es otro virus...


Covid-19 : de nouveaux symptômes très surprenants


Face au risque d’une épidémie liée au virus Nipah qui menace l’État du Kerala, dans le sud de l’Inde, les autorités locales ont décidé de réagir rapidement et avec force. Et pour cause.

Deux personnes sont déjà mortes, mais surtout, c’est la nature de ce virus qui inquiète, puisqu’il n’existe “pas de vaccin contre celui-ci, relate le média américain CNN, et les traitements se limitent au soulagement des symptômes”.

Donnant davantage de précisions, Al-Jazeera décrit un “virus zoonotique”, c’est-à-dire qui se transmet d’abord de l’animal à l’homme.

“En l’occurrence, ce sont des chauves-souris frugivores de l’espèce Pteropus qui servent de réservoir au virus. Celui-ci se transmet par le biais des chauves-souris, des porcs, ou directement d’homme à homme. Après la première contamination par un animal, l’homme peut en effet transmettre à son tour le virus à ses congénères.”

À partir de ce moment, les conséquences pour l’être humain peuvent être très graves puisque, “chez l’homme, le tableau clinique peut aller de l’infection asymptomatique à l’infection respiratoire (légère ou aiguë), voire à l’encéphalite (inflammation du cerveau) pouvant déboucher sur un coma en l’espace de vingt-quatre à quarante-huit heures. 40 à 75 % des personnes atteintes par ce virus décèdent. Si certains patients atteints d’encéphalite aiguë se remettent complètement, d’autres conservent des séquelles neurologiques durables, notamment des troubles convulsifs ou des altérations de la personnalité.

Pour éviter ces conséquences néfastes, des centaines de personnes sont donc en train d’être testées dans le Kerala, qui a déjà connu quatre épidémies liées au virus Nipah depuis la toute première, en 2018. Cette année-là, 21 personnes étaient mortes.

Outre les pertes humaines, la diffusion du virus Nipah peut aussi avoir des répercussions économiques, puisque, comme le rappelle le site d’Al-Jazeera, “en 1999, la première épidémie connue en Malaisie et à Singapour avait porté à l’abattement de plus de un million de cochons”.

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