et ça, commence le cinéma?
La poétesse américaine noire Amanda Gorman dit avoir été jugée «suspecte» par un agent de sécurité
La jeune poétesse noire américaine Amanda Gorman, célèbre depuis qu'elle a dit un poème lors de la cérémonie d'investiture de Joe Biden, affirme avoir été suivie, dans son quartier, par un agent de sécurité qui la jugeait «suspecte».Lauréate de plusieurs concours de poésie, diplômée de sociologie à Harvard, Amanda Gorman a séduit l'Amérique, et au-delà, avec son poème «The Hill We Climb» (la colline que nous gravissons), récité le 20 janvier à Washington lors de la cérémonie d'investiture du président américain Joe Biden.
Le poème se voulait un message d'espoir et un appel à l'unité, adressés à un pays divisé. Depuis l'investiture, elle a signé un contrat de mannequinat avec l'agence IMG. Elle a aussi trois ouvrages en préparation.
Les journalistes cherchent le sensationnel pour vendre leur journal... Toute polémique est bonne à prendre. C’est le lot quotidien de bcp de personnes noires, gay, trans, qui doivent faire face à une multitude de préjugés bien ancrés dans l’imaginaire.
Même si le fautif constate qu’il a tort il fera preuve d’une mauvaise foi pour sortir la tête haute de sa bêtise.
La même poétesse qui a valu (bien malgré elle, elle n'y est pour rien) à une auteure au Pays-Bas d'être qualifiée d'"incapable de comprendre son œuvre car trop blanche et non-binaire" par une militante d'un concept qu'on appelle "racisé". C'est ce que les historiens appellent la téléologie qui consiste à juger un événement ou un personnage du passé à la lumière des suites qui en ont déroulées.
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