On détruit tout, Pintura de la artista cubana Margarita García Alonso

Le printemps semble avoir arrivé, comme je pas trouvé un chérie j’ attends le prochain.
Ils semblent s’avoir calmé les Hommes ces derniers jours à la TV. Entre les manifestations et les grèves posent les pied sur terre et par terre, et abandonnent l’idée de tuer tous les oiseaux devant la possibilité d’une épidémie… mais c’est qu’une trêve, un cache face , une masque car, je parie quelque part, quelque coin de la France et du monde lesteraient suivre son cours… depuis quelques mois l’Auschwitz des oiseaux à commencé.

On détruit tout_ c’ est le slogan moderne_ que on ne peut pas posséder.
Si la poule n’est pas mangeable pour quoi l’ éterniser. Vite la brûler, quoi que avec un peu d’imagination, comme les testes sont claires : la poule française n’et pas malade, se pourra bien envoyer aux pays du tiers monde qui galèrent famine.

Je profite pour dire que je suis une poule française saine, mangeable et un peu triste car mal baisé, mais c’est la faute du coq français, déficiente en testostérone ces temps ci !

Le défi des oiseaux qui cherchent le printemps humain, leur extermination et leur crémation afin d’ éviter une éventuelle contamination à l’ Homme_ « je ne peux plus te manger, donc je te tue », comme discours pédagogique devant la gravité des faits, restent dans mon exposition "On fête les oiseaux qui ne peuvent pas sortir le printemps ", qui reste encore pour quelques jours, jusqu'à le 21 avril 2006, au Black Horse, 71, rue Guillemard, 76600 Le Havre. T. 0235229696.

L’artiste, ici présente, accepte « les coupes offertes dans sa représentation pictural »._pour plus « rangard » comme expression, faut commander à la Redoute.

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