DECLARACION



Hablando en claro: con el asunto "Cuba" perdí años de vida, me busqué enemigos, he tenido que esperar para que se concreticen situaciones que denuncié bajo la repulsa y/o el silencio de mis contemporáneos intelectuales, quienes ahora cuentan que siempre pensaron así... "así" termino infeliz del que no asume y vio como me agredían y permaneció callado. Un día mandé todo al carajo y me sentí muy feliz, hasta pude seguir creando.

Hoy me toca Francia, se repite mi insana inclinación por los problemas sociales y humanos, pues sepan, me consume el poco tiempo que me queda de vida, se va también la Francia al carajo, largamente a la Pga.

 El mundo está en manos de fanáticos, cerebros podridos por ideologías, terroristas corta cabeza y parlanchines del bar Facebook. Voy a cortar con esta inclinación, lo haré hasta salirme por completo, no sé si pueda pues es una vocación. Por el momento, dejo el link a mi espacio, donde subo lo que creo, y la tienda donde vendo lo que puedo. Compren mis artículos, aun tengo sueños por realizar El resto, terminaré una novela y sacaré dos cuadernos de poesía que dormitan desde hace un buen tiempo. Y que le den por el saco a lo que queda de la mal llamada humanidad; los cabrones que no se me acerquen, sobreviví a mucho y sigo con la fuerza animal de echarme a quien me moleste. Y Punto y pelotas. /



Commentaires

Pascal a dit…
Mais bon sang. C'est l'erreur de tout les gouvernements successifs. Tout le monde se fichais royalement du petit peuple et de ses problèmes( logement chômage etc) on a construit des monstres qui vont en construir d'autres. On a laisser des gens s'installer avec des valeurs qui ne correspondaient pas à celle de la France, on a pas su intégrer toutes ces populations. Falait pas le dire c'était mal vu, et maintenant tout le monde fait des oh ah oh. 130 victimes innocentes pour réagir. Il faut rétablir l'éducation, du travail des revenus correct pour faire vivre une famille, arrêtons de jeter le fric aux actionnaires ces requins qui se fichent de la base. La morale, l’éducation scolaire et familiale, du logement du travail, de l'intégration pour ceux qui le veulent les autres ba ils peuvent aller ailleurs voir ce qui se passe. Arrêtons de pleurnicher. C'est trop tard il faut relever les manches et bouger. Sinon vos enfants n'auront jamais la chance de connaitre ce que vous avez connus.
Anonyme a dit…
Il aura fallu 130 morts, un pays traumatisé, presque catatonique, anesthésié par l’effroi et la douleur pour que l’exécutif décide qu’il était temps de déclencher les grandes manœuvres. Loin de témoigner de sa capacité à agir, cela illustre son incapacité à anticiper et à ancrer la politique dans un temps long, seul capable de faire évoluer un Etat et une Nation.

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